Les deux hommes, le Bwins, ont été pris dans la garde vendredi pendant qu'ils préparaient pour donner une conférence de presse sur leur association avec les géants français du football COMME le Monaco, et ont été tenus au cours du week-end. Devant le tribunal hier le magistrat d'examen français de présidence a averti les paires qu'elles pourraient des limites prolongées de chaque visage en prison si elles sont trouvées coupables de violer des lois françaises de jeu, avant de les libérer sur le presseur.
On a averti les cadres supérieurs communs de Bwin, de Manfred Bodner et de Norbert Teufelberger qui ont été arrêtés par des autorités françaises vendredi chacun ont été libérés sur des règlements du presseur €300,000 mais qu'ils pourraient faire face à jusqu'à trois ans en prison si trouvé coupable des frais contre eux.
Sveceny se rapportait à un jugement de la Cour Européenne de la justice il y a trois ans, connue sous le nom d'acte de Gambelli, qui a visé à limiter des efforts par des Etats membres d'UE d'empêcher les sociétés en ligne de concurrencer les opérateurs domestiques. Encore un autre jugement de CEJ est dû à la fin de cette année.
Le porte-parole de compagnie, Konrad Sveceny, admis que Bwin énuméré autrichien, a autrefois parié et gagne, a pu avoir été dans l'infraction des lois de jeu françaises. « La loi de pari française indique que nous ne pouvons pas annoncer en France à moins que nous ayons un permis français, et avoir un permis que vous devez être l'un des deux monopoles de pari français. Cependant notre activité est conforme à la loi européenne. »
Le commerce en parts de Bwin, qui avaient été suspendues après les arrestations de vendredi, a repris à Vienne hier avec la fermeture des prix à une perte de 17%.
Le jeu de l'attitude est constant d'immémorial de temps. Les lois sont des variables qui seront modifiées de temps en temps.